La société écran, c’est la société du simulacre, celle des ombres dans la caverne de Platon, celle de Matrix, celle du faux, de la diversion politique et des gens perdus devant leurs écrans perdus dans le monde virtuel.

Les doubles institutions politiques

Système qui reposent sur une double institutionnalité où, derrière les institutions officielles, étatiques, se cachent les vrais institutions qui ont le pouvoir profond :

PaysInstitution profonde
URSSParti communiste
ChineParti communiste
FranceFranc-maçonnerie (+ lobbies homosexuel et juif, UE => Allemagne => EUA)
VaticanLobby homosexuel ?1

A noter que des pays peuvent être dirigés en sous-main par des mafias, elles-mêmes en relations possibles avec des groupes d’influence ou des sociétés discrètes telle la Franc-maçonnerie (cf. scandale de la loge P2 en Italie dans les années 1950-1980).

Il n’y a pas de système de double institutionnalité aux EUA même si l’ACR (ou « Etat profond » ou « gouvernement de continuité »), le lobby juif ou l’oligarchie financière2 ont un rôle important.

Le contrôle de la narration : le mediavers

Tenir la population dans le virtuel

La télévision

Très tôt, des gens comme Pier Paolo Pasolini ont compris le rôle délétère qu’allait jouer la télévision en détruisant le tissu social et poussant les gens à rester chez eux.

Internet : réseaux sociaux, pornographie, jeux vidéos et sport électronique

Egalité et Réconciliation a réuni Adrien Sajous et Lounès Darbois pour une émission sur les mondes virtuels, l’un parlant de la pornographie et l’autre des jeux vidéos :

« Pourquoi tant de haine » n°1 [20 septembre 2018] sur les mondes virtuels autour des deux livres Sociologies du gamer et Sociologie du hardeur (Kontre Kulture, 14 €)

Note

  1. Lire Sodoma. ↩︎
  2. Fonds de pensions (Vanguard, BlackRock), grands acteurs réunis par le FEM, multinationales. ↩︎

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