Sommaire
Troisième exemple de rhinocéros inoesquien, avec le petit phraseur gentil et doux, Etienne Chouard, passé à la question par deux minables journaleux de la clique à Méluche (de la basse opposition contrôlée) et qui a explosé en vol avant de s’humilier et de se discréditer définitivement auprès des honnêtes gens.
Ce qu’Alain Soral disait de Chouard avant qu’on le rhinocérrorise
Le passage devant les collabos mélanchoniens Robert et Enthoven IV
Les excuses minables et ridicules
Cela dit, je suis un peu dur avec Chouard car c’est un type admirable, tout de même ! Tout d’abord, en trois jours, il est capable de trouver les textes de Robert Faurisson. Je ne vois pas trop comment il a fait, puisqu’ils ne sont pas disponibles sur Amazon. Mettons qu’il soit allé à la BNF, qui doit être une des seules bibliothèques de France à les avoir1 ou qu’il les ait téléchargés au format pdf sur le site de l’Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres et d’Holocaustes en passant par un VPN2. Mais le plus fou est qu’il a été capable de les lire en aussi peu de temps, de les comparer avec la mémoire officielle dictée par la République judéo-franc-maçonne et de passer aussi vite d’un type qui n’y « connait rien » en expert pouvant dire avec un rien d’aplomb retrouvé au fond de sa culotte souillée par toute sa trouille, que Faurisson raconte « évidemment » des conneries. Respect. Après sa disgrâce et sa mise à la retraite médiatique, il pourra passer un doctorat en six mois et trouver une thérapie pour le cancer en un an. Trop fort, le bonhomme !
Puis les moqueries bien méritées
Suite à la séquence d’humiliation publique qui a suivi son procès inquisitorial – séquence d’un pathétique ignoble, même les communistes devant faire leur autocritique publique sous Staline était moins triste à voir, qui eux risquaient leur peau quand lui risquait juste sa place dans les merdias – il a tout de même perdu sa tribune à Sud Radio. Devant le grotesque sans honneur, il ne reste plus qu’à rire et c’est ce qu’ont fait Mozinor (avec l’appui de Dieudonné)
le pixel mort
Tanguy Pastureau, qui participe en grand courageux à la curée dans une petite assemblée de ricaneurs idiots, censés être du service public, mais qui savent très bien quelles sont les lignes rouges à ne pas dépasser et s’y conforment avec le zèle du meilleur des collabos,
Jérôme Bourbon,
et enfin ADBK.
Salut gros lâche, va déblatérer ta soupe ailleurs ! De ne pas avoir compris que se coucher devant l’ennemi et faire techouva ne sert jamais à rien, sinon à perdre du crédit auprès des potentiels soutiens sans jamais rien gagner du côté des haineux à la mémoire sans faille (« et pour cent ans encore »), tu finiras seul…
Va t’humilier devant l’hystérique Elisabeth Lévy, comme Filoche la pétoche devant la petite Cavanna sur une chaîne israélienne de M. Drahi, tu étais pénible à écouter avec ta petite voix fluette qui confinait toujours à la niaiserie, on ne tendra plus l’oreille pour écouter tes jérémiades.
Sans regret.
Notes
- A Strasbourg, la BNUS les a, mais il faut les lire sur place, et encore je suppose qu’il faut motiver sa demande, qu’on est passé à la question, fiché, bref… ↩︎
- Puisqu’il est bloqué en France, ce qui est logique : tout le monde doit être sûr que les Allemands ont voulu établir une épuration ethnique en Allemagne en tuant tous les Juifs, Roms et Tsiganes, mais personne ne doit jamais lire de textes qui reviennent sur l’histoire dictée à Nuremberg et que les chiens de garde juifs façon Pierre Vidal-Naquet, Pierre Nora ou Elisabeth Lévy se chargent de faire respecter par la république qui leur a la nationalité française aux ancêtres de leur tribu. Du mystère de la Shoah et du dogme religieux fondateur de la religion shoatique, on ne discute pas, c’est le premier commandement du Nouveau Testament venu remplacer l’Ancien Testament de la religion des Droits de l’Homme (1717-1945) jusqu’à l’avènement du Nouvel Ordre Mondial dirigé depuis Jérusalem. Interdit donc de lire le socialiste Rassinier, l’universitaire Thion, ou le communiste Garaudy… ↩︎
Photo d’entête : “Trekking for Rhinos 2015” par Christine A.