A court terme on pourrait en rire. Le petit banquier Emmanuel Macron a fait son petit pissou et montre son trophée à femme-maman : « Regarde, Brigitte, on va pouvoir accuser la Syrie pour nos copains colons suprémacistes ! Avec tous les produits qu’il y a dans mes urines, obligés qu’on va nous believe ! »
Mais une fois passé le premier rire, on se dit que la marionnette envoyée par le Pouvoir profond banquier, celui qui tient la France par la dette creusée par les précédents larbins depuis 1981, pourrait être encore plus ridicule que le précédent, lui qui finit son mandat entre 4% et 13% de bonne opinion, repoussant encore les limites de la honte que nous éprouvons lorsque nous considérons ceux que notre grande démôôôôôôcracie nous donne comme dirigeants. On se prend à être d’accord avec François Asselineau :
Et à se dire qu’il se faut bouger et en finir avec ces pantins. A moins de se contenter d’attendre les prochains attentats faussement islamistes, permettant de fermer leur bouche à tous les joyeux moutons démocrates grâce à un état d’urgence bienvenu, et permettant au minable présimarionnette de jouer les chefs de guerre en se taillant un costume qui n’est pas à sa hauteur.