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Ivres de livres et de jeux de cirques virtuels
Jusqu’au XXe siècle, vous aviez des vrais régimes forts, voire totalitaires, fiers de leur projet et qui n’hésitaient pas à l’annoncer. Ayant une foi forte et des valeurs affichées ils n’hésitaient pas à assumer leurs actes, y compris les plus violents.
Au XXIème siècle, nous sommes à l’ère du techno-fascisme et de la société du spectacle, et la réaction chimique de leur rencontre créé des explosifs immobiles. Les totalitaires y sont des petites crapules lâches et souvent stupides qui, au lieu d’assumer leurs actes, peuvent vous effacer d’un clic.
Prenons l’exemple du site Babelio. Catallaxie.net s’y est récemment fait effacer, sans même un avertissement, sans même un courriel ou un message nous ayant prévenu. Donc, un jour vous voulez vous connecter comme vous avez l’habitude de le faire et …vous n’existez tout simplement plus. Voilà. C’est tout. Un misérable mollusque anonyme vous a dégagé sans préavis ni explication. Même Youtube ou Facebook se donnent encore la peine de faire semblant d’avoir des règles de fonctionnement, et font appel à leur fantomatique « communauté » plus invisible que les Rosicruciens à leur époque ou le Yéti, et leurs « valeurs » éthérées qui ne sont que les valeurs du politiquement correct.
Evidemment, Babelio est un site grand public qui vend le produit créé par les utilisateurs aux bibliothèques, ou d’autres services. Il n’est pas tant là pour guider les lecteurs et leur permettre de trouver des vraies critiques écrites par des vrais gens (et non pas des critiques professionnels larbins des éditeurs et du petit monde germanopratin prout prout cultureux), que pour vendre du papier noirci de merdes sans intérêts, de petit divertissement bourgeois, comme TF1 vend de l’espace cerveau disponible pour Coca-Cola.
Une fois dans la place, vous vous rendez compte que le site est peuplé majoritairement de lectrices incultes (parfois illettrées) gobant n’importe quoi, se pliant goulument au fashionisme Musso-Lévynien, de la saga heroic fantasy ou du manga, comme si elles lisaient de la haute littérature qui traversera les âges, et que tout ça est à l’image de la société : impressionnable car sans éducation, d’un humour infantile quand les soi-disant critiques ne sont tout simplement pas des réécritures approximatives de quatrième de couverture.
Heureusement, au détour d’une critique vous croisez un Juan Asensio ou une Colimasson aux critiques parfois hilarantes et acerbes, tranchant avec le flot de nenettes engloutissant leurs polars ou leurs littératures d’évasion comme on mange de la nourriture rapide ou on prend des antidépresseurs, ou d’autres lecteurs dont c’est régulièrement un plaisir de lire les critiques.
Et puis vous classez vos lectures, vous les organisez, le service est intéressant. Mais voilà pour y avoir accès vous devez être bien dans le moule de la société de consommation, bien nigaud, gentil petit consommateur lénifié et abruti, occupé à des petites choses pour laisser les grandes se dérouler sur son dos, il faut être politiquement correct, sans vague, fade comme du gouda, poli et bien dans les uniformes de l’époque, une éponge à normes, un clone de clone de clone de gens sans saveur, à l’image de Pierre (Bibalice), qui me fait toujours penser à Laurent Louis…
à la différence que Laurent Louis met sa bouille rigolote et sa maladresse au service de causes importantes, non pas pour vendre à des crétins de la lilittérature bêbête et aussi vite oubliée que vendue, à l’image des 25 000 films d’Hollywood qu’on a déjà vus avant de les avoir vus et qui glissent comme de la pisse de divertissement dans des toilettes de pseudo-culture.
Bref, à l’époque vous étiez excommunié par une Eglise dure mais digne. Vous étiez envoyé dans un camp de concentration par des régimes forts qui voulaient hausser le niveau de leur société quitte a éliminer durement (je ne les défends pas forcément) les éléments indésirables, là vous êtes dégagé silencieusement et sans laisser de trace, vous disparaissez simplement d’une minute à l’autre comme l’avait bien décrit 1984 (en se basant sur l’expérience russe où les camarades disparaissaient de la photo, dans un long travail de révisionnisme historique), viré par des petits mecs et des petites nunuches sans consistance.
Je retrouverai les gens intéressants directement sur leurs sites, et ne regretterai pas de ne plus voir le dégueulis de commentaires crétins sur des livres parfois admirables, comme on lance des perles à des cochons engraissés par la Déséducation Républicaine, mais j’eus préféré que ces minables aient au moins la classe d’envoyer un courriel pour prévenir que je les empêchais de vendre de la merde tranquillement.
Et le plus révoltant au final est d’avoir face à soi des gens de si peu de valeurs et pas même un adversaire digne, hormis les malins singes qui savent très bien ce qu’ils font, pour qui et pour quoi, mais qu’on ne croise jamais ni de près ni de loin et qui ne connaissent pas même notre existence. Au quotidien, le lent produit du gauchisme culturel dissolvant la société, c’est de lever une armée de zombis anonymes et efficaces, une nuée de robots de bienpensance, et les mettre face à vous comme écran. Qu’il devient triste alors de savoir que c’est que tout cet amas de nouilles vivant dans des fictions n’étant que des ersatz chimériques et appauvris de notre réalité, qui jugeront les acteurs, politiques, sociaux, religieux, ceux qui doivent se choisir un camp pour gagner en poids et agir sur le monde (duquel ils ne peuvent s’extraire, qu’ils ont reçu en héritage et à la hauteur duquel ils doivent se maintenir), malgré la complexité des faits, la difficulté d’avoir des idées totalement arrêtées et le courage que cela demande parfois. Car, pourtant, malgré l’incertitude, il faut agir, au risque de se tromper. Être fusillé par un peloton d’exécution est une chose, être viré d’un site par Babelice de la sorte, par ces gens-là, comme demain nous serons effacés de la société, a ce côté humiliant de surcroit. Être mis en prison, torturé, envoyé en déportation, est tout de même plus digne qu’être confiné à balayer les rues ou avoir son petit lopin de terre sans pouvoir ne jouer plus aucun rôle politique ni social, vivant à la limite de l’animalité et loin de tous, sans même coûter un enfermement à un régime capable de contrôler en 5G et via des puces n’importe quel individu tenu en laisse par des IA, comme ça l’est toujours plus en Chine, laboratoire de l’oligarchie mondiale.1 Se voir juger, lorsqu’on décide de bousculer l’Histoire2, par des nouilles qui trouvent que la violence c’est mal (mais s’en repaissent virtuellement pour s’évader) ou que les acteurs sont des vilains, des fachos, des fous, etc. est un peu comme avoir pour juge une stupidette arrogante de 15 ans qui aurait au bout de ses doigts d’idiote, votre sort pour les prochaines années (on n’en est pas si loin). C’est encore plus insultant. Le toutoulitarisme nous fera regretter le totalitarisme ancien…
Bonus : les dix premiers résultats sur « critique de livres » sur Youtube
J’ai tapé “critique de livres” dans Youtube [le 11 janvier 2020] et voici, sans aucune triche, les 10 premiers résultats dans l’ordre. Faites de même dans les tendances de Youtube et vous verrez du football3, des étoiles et gens connus, des fillettes qui n’ont que leurs fesses et leurs seins, un humour infantile vu plus d’un million de fois depuis Le piège de cristal et L’arme fatale, énormément de grimaces décalées4, du soda, du sexe, de la drogue, de la bêtise à ne plus savoir qu’en faire, un peu de polémique creuse, du clash, du rap et du RnB faussement populaire et rebelle, le rempaillage clinquant du vide… Et tout cela est exactement le monde dont l’oligarchie mondiale et Babelio rêvent : que des petites nénettes, la plupart jolies, sympatotoches, amollissantes, qui lisent des niaiseries et ne s’intéressent à rien d’autre – sauf parfois de la rébellion écologique vendue clef en main par l’oligarchie, via Al Gore, Soros (Greta le Gogolem), les Cop, etc. pour accepter plein de nouvelles taxes et se faire faire les poches par la mafia organisée avec le sourire et l’impression d’être des aventurières. C’est bien une image de l’Enfer avec cet épais millefeuilles gras, saturé de sucre, aveuglant de mille couleurs. Ecœurant. Et que me fait penser que, finalement, Pierre de Brague devait avoir raison dans sa conférence sur « YouTube, déprime : la nouvelle culture de masse », concernant le rythme de renouvellement des petites comètes éphémères, petits supports publicitaires interchangeables qui ont leur quart d’heure de demi-gloire standard et disparaissent sans laisser de trace derrière elles.
Pour revenir à nos lectrices, ce flot de pouffes rigogolotes qui s’imaginent être des génies parce qu’elles lisent de la saga et plus de celles qu’elles regardent sur des tubes à contenus crétins – style Netflix –, peut-être même qu’elles sont Instagrameuses, et que les plus fraîches et mignonnes pourront vendre leur virginité pour financer leurs études5. Ou se faire sauter par des Saoudiens. Ou voter Parti Animaliste au lieu de voter pour le Frexit. Et trouveront ça normal, qui sont totalement déconnectées de la vie, trop occupées à s’évader dans leurs sottes fictions. En tout cas, elles sont parfaites pour le Système. Parfois beau cul, souvent petit QI, c’est tout ce qu’il faut pour encadrer les masses endormies et veules. La dictature du trop cool, génialissime, loool, et tout, quoi !
Ecce homoules :
Bonus du bonus afin de lutter contre le djihadisme
Hey, les barbus dupés et martyrs aspirants : vous avez demandé à vos imams si vos 72 vierges seront de qualité ? Imaginez 72 lectrices7 trop top cool kikoulolitas de cet acabit, vous racontant leurs sagas sans créativité vaguement copié de la copie de la copie de de la copie de Tolkien, et parlant de batailles, de rois et de licornes, devant leurs poupées à gros yeux ridicules, déblatérant leur petite bouillie mielleuse d’émotions sur ces histoires de loups magiques et de princesses qui volent et désirant partager avec vous les aléas de leurs nombrils et de leur omniprésente bouille, ou leurs grandes pensées profondes sur le monde… ça ne vaut pas le coup, non ? Vous arriverez à bander devant ces nanas incultes ? Vous arriverez à écouter toutes leurs inepties ?8 Et combien de ces cruches capables de perdre des heures à lire de la fiction creuse connaissent-elles l’histoire de leur ville ? Combien de ces fifilles qui aiment les batailles sont-elles allées prendre un gilet jaune pour lutter contre le racket qu’elles ou leurs parents subissent de la part de l’oligarchie ? Combien de ces pouffes perdues dans leurs univers stupides ont un avis éclairé sur les relations internationales ailleurs que dans leurs royaumes de papiers pour crétins évadés de la réalité et pas assez riches pour se prendre de l’héroïne autrement qu’en book ?
Allez pour faire œuvre de pédagogie, oublions les neuf intellectuelles vues plus haut et voici, ci-dessous, les 72 vierges qu’Allah vous donnerait pour service meurtrier rendu sur Terre :
Evidemment, voir leur visage ne suffit de loin pas9, il faudrait les entendre toutes10, leurs génériques mièvres, leur pseudos plein de fleurs, leur mise en scène souvent à prétention humoristique mais d’un humour tellement standard et ressassé servi par des prestations plusbellelavisques qu’il en est à bailler d’ennui. Imaginez-vous donc gérer toute cette marmaille qui piaille, boursoufflée d’arrogance et de vacuité brillante… Vous en voulez encore en rab ? Ça déborde, en voilà deux de plus, dont qui cite ses cop-copiiines et l’autre qui s’étonne qu’un livre de 1943 ait une vision du monde de …194311 :
Oui, OK, j’ai pitié, j’arrête, je vois bien que vous avez compris votre erreur. Non, les gars, trouvez une seule fille bien (c’est déjà pas mal), une intéressante, forte, profonde, courageuse et spirituelle et restez en vie pour lutter politiquement contre cet Enfer sur Terre que veut nous créer l’oligarchie, avec cette dictature de la niaiserie narcotique, vendeuse de guimauve à vomir, de jouissance achetée en boite de conserve, de cuculture pour ânes obèses, vendu par de la beauté féminine savamment abrutissante !
[Et voilà un article qui devient d’utilité publique et sans doute plus efficace qu’un centre de déradicalisation…]
Et sinon elles en pensent quoi les lectrices de conneries en série, celles qui doivent avoir été élevées à l’antiracisme de bac à sable, du racisme profond et latent de la part des pays du Nord face aux pays du Sud, que montre l’assassinat du général Souleimani ?
Et nos fanzouzettes de S.F. trop frisson, des dystopies big buzz oulahah ou du space opera resucé 10 000 fois sur une Guerre des Etoiles elle-même s’autoplagiant, des avertissements de Harari dans Homo Deus (celle qui parle du monde dans lequel ces greluches sont censées exister) ?
Sinon, il revient quand notre gros chauve préféré, Michel Drac, dont écoute trois heures avec plus de plaisir que de voir cinq minutes les beautés écœurantes et clonées de ces minettes sans épaisseur ? (Soupir.)
Ouverture : une Leïla comme une Loth
Pour terminer sur une note positive et comme Sodome et Gomorrhe pouvaient être sauvées grâce à Loth et sa famille, une vidéo de Leïla Huissoud, que je découvre sur le tard12, toute petite femme de 23 ans, pétillante, inventive, qui fait rimer un vieux genre et le continue avec brio. Et non seulement le fait vivre mais se moque des grands et dialoguent avec eux en les tutoyant, déjà !
Il n’y a plus qu’à espérer que ce petit génie précoce soit toujours aussi vaillant lorsque, sortant du grivois (ce qui n’est plus dangereux de faire depuis un siècle pour les hommes et quarante ans pour les femmes), elle voudra chanter l’esclavage pour dette, la manipulation du réchauffement climatique et ses taxes pour la transition écologique, la guerre contre l’Iran, l’omnisurveillance …ou l’abrutissement des masses par une antiélite bien soucieuse de n’avoir que des mutins de panurge à gérer…
Laissez-nous espérer, elle est si énergique !
Notes
- Le réel est si dystopique qu’avoir encore à en lire revient à faire un plan de révolution au moment-même où elle passe dans la rue et crie votre nom pour que vous la rejoigniez. Et si le Système toujours prompt à se moquer du complotisme a raison, il suffirait d’en devenir un pour vivre dans un roman, pour de vrai, les filles ! ↩︎
- Elle qui, à un moment ou un autre, a besoin d’individus agissant – puisque les « structures ne descendent pas dans la rue ». ↩︎
- Le nouvel opium du peuple, mais qui lui aussi rempli moins ses églises tant ce n’est plus la publicité qui vient accompagner une nouvelle forme de lutte médiévale entre deux bannières, mais du ballon qui sert de prétexte à la publicité omniprésente. ↩︎
- Mais quand tout est décalé, c’est être normal et sérieux qui devient le chic de la rébellion. ↩︎
- Si elles l’ont encore ; et si elles veulent faire des études, elles n’en ont pas besoin pour lire de la littérature d’évasion pour s’extraire de leur future vie d’esclave 2.0 faisant un boulodébile (un “bullshit job” pour David Graeber) parce que pendant qu’elles s’occupaient de leurs mondes imaginaires leurs pays se délitaient. ↩︎
- C’est peut-être elle qui, après après avoir présenté la météo sur la chaîne trop gigaclasse du moment et avoir reçu sa promotion du Weinstein de son milieu, nous expliquera que les frappes lancées sur Téhéran ont été réalisées de manière chirurgicales et qu’il faut vite envahir pour le pays pour le bien de la démocratie, de la paix, de la liberté et des petits toutous emprisonné dans les geôles des mollahs et que nous autres, focalisés sur le début de son décolleté, accepterons le mensonge avec envie d’envahir la Pologne par la même occasion, juste pour la voir encore à l’écran nous rassurer et nous parler de notre héroïque croisade… ↩︎
- J’en ai rassemblé ici 72 en deux jours (merci les recommandations Youtube ; maintenant, il va falloir effacer ça peu à peu) pour que vous visualisiez un peu… La plupart, il faudrait que vous les écoutiez et que vous ayez les noms cucul à base de rêves, arc-en-ciel et sucre à t’en faire crever un diabétique rien qu’à les entendre, pour vous rendre compte… ↩︎
- Pour bien faire il aurait fallu partager les vidéos et non pas des copies d’écran, et trouver comment les lancer toutes en même temps, pour que leurs voix aigües et leur vocabulaire pauvre et infantile sur fond de musique de dessin animé, forment une grosse soupe d’insignifiance. Ça donnerait une certaine idée de l’horreur qui en ferait réfléchir plus d’un… Certes, la plupart sont des gamines de 12-15 ans et ont des occupations de gamines de leur âge. Il vaut même mieux qu’elles lisent ces trucs sans intérêt, plutôt que de se bousiller le cerveau à d’autres choses pires, mais, enfin, passé 16 ans, tout ça devrait rejoindre les poupées qu’on regarde avec un peu de honte… ↩︎
- Déjà, on les voit, et souvent on ne voit que ça, alors que dans une chaine dédiée aux livres on devrait donner toute sa place à l’objet et à son contenu plutôt qu’à se montrer. Indice que tout cela n’est qu’un prétexte à sa mise en scène narcissique dans une pauvre façon de faire de soi un produit, notamment dans le cas des adolescentes qui sont plus mannequins et supports publicitaires que lectrices. La porosité, d’ailleurs, entre ces deux catégories, le mannequin et la lectrice, ne montre pas que les lectrices sont plus belles mais que mêmes les belles peuvent faire le travail que faisaient avant celles qui avaient plus misé sur leur cerveau que sur leurs fesses, tant le niveau est proche du plancher des vaches. A l’heure de la société du spectacle, le mannequin peut être politique (cf. au Canada avec Trudeau), pseudo-intellectuelle du niveau collège, un jour à l’Académie française pour la qualité de ses mèches de cheveux ? ↩︎
- A ma décharge, si je cherchais exclusivement des femelles pour l’illustration/pseudo-démonstration (tout en sachant que les gamins efféminés du même genre ne sont pas moins risibles que leurs homologues vaginales), je ne suis tombé sur aucune femme mûre (les 58ème et 59ème sont un plus adultes) parlant de livres intéressants… Hasard ? Faut-il être jeune et éventuellement belle pour être booktubeuse, ou est-ce que les mamans de ces jeunes filles n’ont pas investi la plateforme, préférant écrire, même mal, sur Babelio ? ↩︎
- Y aura-t-il seulement en 2120 quelqu’un pour s’intéresser à ce qui est écrit aujourd’hui et les standards LGBT + marques + scenarii creux et clonés de cette époque ? Tout ce bruit numérique sera-t-il seulement gardé quelque part ? ↩︎
- Mais tant mieux, ce n’était à la télévision ; que je n’ai pas. ↩︎
Photo d’entête : “Too much?” par photos de Clo