But : dépolitiser la société (cf. Mai 68), laisser le monde politique – contrôlé par le complexe militaro-industriel et l’impérialisme juif – faire ses affaires sans être ennuyé par de jeunes idéalistes qui ont cru bêtement aux droits de l’homme de la bourgeoisie des Lumières.

Participe aussi de la deuxième chute anthropologique et à la diffusion du satanisme dans la société.

Ainsi, c’est l’ensemble de la culture moderne, rock, rap ou électro, qui participerait de la deuxième chute anthropologique sous contrôle oligarchique.1

A lire

Sur Internet

FLATLEY Joseph, “Were we all brainwashed by the CIA with Sex, Drugs & Rock & Roll?”, Please Kill Me, 14 avril 2020

Livres

McGOWAN David, [2014] Weird Scenes Inside The Canyon: Laurel Canyon, Covert Ops, and the Dark Heart of the Hippie Dream.

LEE Martin A., [1994] Acid Dreams: the complete social history of LSD, the CIA, the Sixties and beyond

REGIMBALD Jean-Paul, [Années 1980 ?] Rock’n roll. Viol de la conscience par les messages subliminaux

Note

  1. Si beaucoup de producteurs sont Juifs, difficile d’y voir un complot juif puisqu’eux-mêmes écoutent et dansent sur ces musiques. Si cela est du poison pour les Goyim, ils s’en protègeraient, ce qui n’est pas le cas, à moins qu’au retour du Machia’h, “Jerusalem” ait a purger “Tel Aviv”… ↩︎