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Premier volet : une cabale contre l’Armée (catholique) [début du XXe siècle]

L’affaire Dreyfus est un cas intéressant. Partant d’un individu probablement coupable des faits qui lui ont été reprochés, du moins légitimement soupçonnable, un groupe de pression juif avait réussi à faire croire que Dreyfus avait été attaqué parce que Juif, alors que ce n’était pas le cas, et à le défendre parce que Juif, dans un réflexe tribal d’une part et d’autre part pour se montrer à elle-même ainsi qu’à ses opposants, sa force de frappe. Pendant ce temps, la Franc-maçonnerie arrivait à nuire profondément à l’Armée française, restée catholique malgré un siècle de lutte entre leur parti et les fidèles du Pape, en jouant le jeu des Juifs1. Tout ceci bien avant l’excuse du traitement rugueux de leur tribu par l’Allemagne nazie dans les années 30-40, ce fait venant rajouter une grosse ligne de violons, certes, mais à un orchestre qui existait déjà bien avant, depuis que les républicains, en 1791, ont fait des Juifs des Français à part entière, ce que leur refusait la monarchie catholique.

Au-delà de la version officielle qui est enseignée par la République en France, plusieurs voix ont tenu à revenir sur l’« affaire » :

Deuxième volet : insulter encore la France et imposer un violeur aux Françaises [2019-2020]

En 2019, le film J’accuse de Roman Polanski permettait à la Communauté organisée juive de montrer qu’elle pouvait encore monter un coup en défendant en une seule fois l’indéfendable Dreyfus contre les Français courageux et Roman Polanksi contre les féministes et le monde de la culture qui lui reprochaient des faits de viols commis dans les années 1970, soit 40 ans avant la sortie du film.

Dans le fond, le film, reflet ou copie dégradée de l’« affaire », servait au même but que l’affaire elle-même : imposer l’indéfendable pour montrer sa force, humilier les Français et faire taire les lâches / révéler les courageux qu’il faudra contrôler ou maintenir loin des postes de pouvoir, côtés opposés de la même pièce…

Une mission d’ERFM avec Monique Delcroix et Bruno Gollnish, en 2019, répond à ce film.

Note

  1. Pour peu que la Franc-maçonnerie ne joue pas le jeu des Juifs par définition, n’étant qu’un outil aux mains de cette religion et créée par la Synagogue dans le monde schismatique anglican et protestant. ↩︎

Photo d’entête : « Zola, Dreyfus » par Jeanne Menjoulet.