Accueil » Histoire » Epoque contemporaine » L’affaire Dreyfus » J’accuse de Roman Polanski : un deuxième fond à l’affaire Dreyfus

Réalisé par Roman Polanski, Juif en disgrâce dans le monde de la culture pour des faits de viols commis dans les années 1970, le film J’accuse [2019] a été produit par Alain Goldman, gros indice que le lobby juif – qui tient le cinéma – tenait absolument à insulter encore la France.

1ère utilité du film : montrer à nouveau la force de sa communauté

Voici la bande-annonce de ce film de propagande et agitprop juive :

La bande-annonce de J’accuse ! par Roman Polanski

Au-delà de la propagande cinématographique sûrement bien faite – mais n’allons pas perdre notre temps de notre argent avec ceci –, il est intéressant de noter qu’en lui-même le film relance ce qui était en jeu avec l’affaire Dreyfus : la communauté organisée de Lumière, Elue et Survictime à jamais, s’attache à prendre un indéfendable de sa tribu (Dreyfus puis Polanski) et à (se) prouver que ses medias et ses commissaires politiques placés partout dans les lieux où on peut avoir de l’influence, peuvent faire gober n’importe quoi aux Goyim.

Ainsi, il faut prendre un Juif et l’innocenter quoiqu’il ait fait en jouant sur le sophisme voulant qu’on attaque le présumé coupable parce qu’il est Juif, là où il n’en est pas question. C’est d’autant plus intéressant dans le cas du film, qu’il y a là une mise en abime : Dreyfus défendu racialement par sa tribu (et quelques Goyim complices) parce que Juif alors que nul ne l’a attaqué pour ceci mais bien parce que des raisons objectives menaient à douter de lui, le réalisateur attaqué se sert de cette fausse victime de racisme, pour faire passer son propre cas sous le coup de ce faux-fuyant fallacieux.

Remettant un jeton dans le jukebox, il s’agit donc pour la Communauté Intouchable de (se) montrer qu’elle a encore la force de frappe, d’aller défendre d’un seul coup Dreyfus et Polanski, alors que l’un et l’autre ont eu des comportements totalement douteux. Après l’affaire Hervey Weinstein où le(ur) Golem du lobby féministe empêchait toute défense de mauvaise foi, après l’affaire Epstein, trop dure à défendre puisqu’il s’agit là de pédophilie et cette limite anthropologique surpasse tous leurs efforts sophistiques et leur terrorisme intellectuel, Polanski leur permet de se refaire la main, pour que la machine reste huilée.

Polanski n’ayant pas été accusé de viol parce que Juif (mais parce que homme et parce que réalisateur, après l’affaire Weinstein et Me too), même si on peut douter de la sincérité de la deuxième accusation intervenue 44 ans après les faits, il faut faire en sorte que faire croire à l’opinion publique que les accusations sont racistes et cacher le fait qu’on défend cet homme par racisme, dans un cas typique d’inversion.

Bref, J’accuse permet de montrer, un siècle après, qu’on en est exactement au même point en France… sauf que les menteurs organisés ont recréé leur Etat mythique et ont la bombe atomique !

2ème utilité du film : remettre le Golem féministe au pas

La bataille de la 45ème cérémonie des César, en 2020, où Roman Polanski a été gratifié, aura opposé le lobby juif aux femmes Goyim.

Lors de ce deuxième volet a vu s’opposer les femmes qui avaient bien compris le doigt d’honneur tendu par la Communauté Organisée et avaient décidé de ne pas laisser passer cet affront au lobby qui, après avoir financé le film et mis tous ses media à la faveur de sa propagande, a fait primer le réalisateur juif.

Les femmes Goyim (les « shiksas » pour les « trousseurs »1) sont donc montées au créneau pour refuser ce passage en force. Quand la Communauté de Lumière a envoyé ses femmes faire tampon, la maigre, fragile et mauvaise Sandrine Kiberlain en tête, puisque présidente du comité pour cette année-là, après bien des remous. La judaïté de cette fade actrice opposée à la vivacité et l’énergie Florence Foresti (elle-même assimilée par le juif Benoît Rayski à Dieudonné dans un billet d’Atlantico le 5 mars 2020) était-elle un hasard ?

Par extension la question qu’on se pose est : combien d’actrices franco-juives se sont-elles opposées à la nomination et au César de Roman Polanski ? Qu’on dit les Elsa Zylberstein, Mélanie Laurent, Géraldine Nakache, Véronique Genest2, Judith Godrèche, Zabou Breitman, Charlotte Gainsbourg, etc. … On n’est pas là pour faire des listes mais pour ces actrices toujours promptes à nous faire la morale, c’est juives d’abord (et on participe à la manipulation du patriarcat du lobby de la tribu sans rien dire, sinon avec enthousiasme) ou femmes d’abord ? Elle en dit quoi Delphine Horvilleur ?3

Si on compte le nombre de membres du Peuple Elu qui ont soutenu le peuple dans sa révolte en gilet jaune, les comptes sont vite faits…

Notes

  1. Pour citer un membre de Lumière, Jean-François Kahn, défendre son co-religionnaire, Dominique Strauss-Kahn, contre une femme noire-américaine, au moment où on ignorait encore (quoiqu’en s’en doutant) que « l’affaire Nafissatou » fût un montage. ↩︎
  2. Un temps candidate suppléante d’un sioniste de combat et créateur de JJS News, proche de la Ligue de Défense Juive [LDJ]. ↩︎
  3. On demande bien aux Musulmans de s’excuser pour Daesh – ce petit jouets des Turcs, Nazisraëliens ou Nord-Américains… – pourquoi les Juifs n’auraient pas à se désolidariser de la manipulation de la Crifouille ? ↩︎