Pourquoi ?

Tout d’abord, il faut comprendre pourquoi cela se produit.

D’une part, pour créer, au niveau des adultes, un groupe au-dessus des lois, qui sont mouillés dans des actes atroces et qui peuvent rendre des services pour des affaires obscures, politico-mafieuses. Une sorte d’armée de zombies à l’esprit totalement troublé et aussi zélés qu’ils ont la trouille, et savent ce que le réseau est capable de faire. Dans le passé, l’homosexualité et l’adultère servaient de moyens similaires de chantage, dépassés aujourd’hui et remplacé par la scatophilie et la pédophilie. Lorsque la pédophilie sera légalisée – et l’oligarchie pilotée par la Franc-maçonnerie y travaille depuis des décennies, avançant patiemment dans la réalisation de cet agenda.

En Chine, le régime fait en sorte que chaque acte important de la vie quotidienne nécessite de corrompre quelqu’un et tout est enregistré, de manière à ce qu’on puisse se débarrasser de n’importe qui représentant un danger pour le Pouvoir. En Occident, cela se passe par ce genre d’initiation à des choses de plus en plus horribles et de moins en moins naturelles et normales, non seulement pour humilier les adultes et détruire toute estime d’eux-mêmes mais pour qu’ils ne puissent plus reculer et se soutiennent entre eux, ayant commis le pire et perdu dans une fuite en avant.

Comme il vaut mieux que les acteurs de ces réseaux aient l’impression qu’ils sont des surhommes, qu’ils soient mus par la croyance plutôt que par la peur, on a favorisé l’éclosion de philosophes kabbalistes/frankistes comme Friedrich Nietzsche ou des magiciens comme Aleister Crowley ou autres occultistes (Dimitrije Mitrinović, George Gurdjieff, etc.), voire sectes religieuses comme les Rose Croix, afin de créer un accompagnement idéologique. Ils doivent donc embrigader certains dans des pratiques de sorcellerie, afin qu’ils trouvent un sens mystique à ce qui n’est qu’un ciment social d’une oligarchie noire.

Au niveau des enfants qui vivent cela, il s’agit de créer de futurs monstres aux individualités dissociées, facilement manipulables, des enfants du bas peuple rendus fous, des jeunes filles recrutées dans les agences de mannequins pour servir de prostituées de luxe à l’oligarchie, où la future oligarchie au pouvoir…

Comment ?

Des partouzes sado-masochistes et scatophiles entre adultes, où on consomme de la drogue et des prostituées, qui sont aussi parfois tuées. Il y a d’autres soirées avec sexe de groupe et rituels où des enfants sont violés, et qui assistent à des meurtres rituels d’autres enfants.1 Le tout est filmé pour que les participants gardent des souvenirs (et des preuves) ou que les réalisateurs puissent vendre leurs films (des “snuff movies”) très cher, à quelques pervers membres du réseau au sens restreint ou au sens large (réseau de réseaux).

Les membres sont des gens de tous niveaux sociaux2, allant des plus riches à des personnes plus modestes qui servent aux petites besognes et que les membres les plus influents peuvent “lâcher” et donner à l’opinion publique lorsque tout n’est pas maintenu secret.3

Le reste du temps, le réseau possédant des appuis tant dans la police et la gendarmerie, que la justice, des services sociaux et d’aide à l’enfance en danger, ou du personnel de l’Education Nationale, il peut falsifier les faits, faire disparaître les preuves, intimider les victimes enfantines et adultes, menacer les récalcitrants, voire inverser l’accusation et faire passer pour fous les gens qui portent plainte. Le réseau place donc des gens les plus dangereux aux postes où ils sont les plus efficaces, et surtout là où ils devraient agir de manière opposée à celle qui est la leur, comme des juges pédophiles à la tête d’un tribunal pour enfants.

Il existe aussi d’autres soirées réservées aux célébrités et gens richissimes dans lesquelles les petites mains de classe moyennes et les exécutants populaires ne sont pas conviées et que raconte un film comme Eyes Wide Shut en 1999 ou la Traumnovelle d’Arthur Schnitzler (1926). Ceci peut être séparé en deux catégories : d’une part les techniques de compromission organisées la plupart du temps par des services secrets, et d’autre part les rituels religieux, plus souvent néo-païens et satanistes.

Cas particulier des réseaux pédophiles

La pédophilie pose un cas à part, car elle touche à un interdit anthropologique universel. Elle va bien au-delà du reste (viol, drogue, meurtre, recherche de réalités surnaturelles) car, s’attaquant à l’être le plus fragile et le plus innocent, elle choque le plus, surtout si elle demande aux propres parents de réaliser des choses horribles qui brisent les adultes comme les enfants et en font des monstres prédateurs manipulables lancés au milieu des zombies abrutis et endormis. C’est pourquoi je l’ai mise à part.

Depuis quand ?

Marion Sigaut, dans La Marche rouge, les enfants perdus de l’Hôpital général (2008), évoque des disparitions d’enfants à l’Hôpital général au XVIIIème siècle à Paris, qui pourrait faire partie de ce phénomène, …au moment où la Franc-maçonnerie existe déjà et préparait sa révolution.

Au XXe siècle, Arthur Schnitzler en parlait en 1926 pour l’Autriche. [A continuer]

Quelques révélations dans l’art

Mon hypothèse est aussi que Pier Paolo Pasolini voulait montrer ce procédé dans son dernier film, Salò ou les 120 jours de Sodome, qui ne concerne pas le fascisme italien mais l’initiation oligarchique de ce genre d’horreur dans les sociétés occidentales (sans la pédophilie qu’il n’aurait pas eu le droit de filmer), et qu’on lui a volé la fin où il devait en révéler un peu trop. Puis qu’on l’a fait assassiner sauvagement, non par un amant d’un soir comme il a été dit, mais lors d’un rituel de mise à mort d’un traitre. Idem, pour le marquis de Sade, je suppose que les révolutionnaires en France devaient trouver très intéressant que ce soit un malade mental aristocrate qui écrive quelques-uns des rituels qu’ils allaient ensuite faire faire aux aspirants aux plus hauts postes du nouvel Etat. Stanley Kubrick a révélé une partie de ces pratiques dans Eyes Wide Shut (1999)4 avant d’être retrouvé mort.

Notes

  1. Importante puisqu’elle touche un des crimes les plus grands, pièce centrale de certains dispositifs de contrôle sociaux obscurs, la pédophilie et l’éphébophilie (présence de mineurs adolescentes) n’est cependant qu’un des composants du dispositif, avec d’autres éléments. C’est pourquoi je n’ai pas centré sur la pédophilie dans l’appellation de ces réseaux criminels. Pas plus qu’il ne faut les appeler “satanistes” ou autres noms puisque, si dans l’accompagnement idéologique et le conditionnement des acteurs les organisateurs peuvent faire appel au satanisme, il peut aussi s’agir de n’importe quelle doctrine ésotérique, surnaturelle ou pseudo-scientifique, etc. Contrairement aux réseaux centralisés et pyramidaux officiels et publics, comme un parti politique, une armée, une organisation étatique, une Église, etc. qui possèdent une ligne idéologique unique et une organisation claire, les réseaux occultes se doivent de multiplier les sous-réseaux qui se croisent, seuls les organisateurs de bon niveau ayant la cartographie de ceux-ci. ↩︎
  2. C’est pourquoi les termes “oligarchique” ou “élitiste” sont faux, car tous ces gens qu’on fait monter aux hauts postes ne sont pas une élite, au contraire, ils sont les pires, et dans la pyramide de ces réseaux, il faut aussi la base, pas seulement la pointe. ↩︎
  3. C’est pourquoi je crois que la lutte des classes est un simplisme fallacieux de Marx et Engels. ↩︎
  4. Comme avant lui Arthur Schnitzler, puisque le film est l’adaptation de Traumnovelle (1926). ↩︎

Photo d’entête : “Double cross” par Yusuke Matsumura.