L’homme

Il y aurait beaucoup à dire sur l’homme. Non seulement sur le meurtre de sa femme, Sharon Tate, par Charles Manson en 1969, et tout ce que cela peut cacher. Ensuite non pas tant sur l’affaire de viol sur une mineure elle-même, même si elle a empoisonné sa carrière depuis, mais surtout la façon dont il a été défendu en France par les sayanim, dont Henri-Botul Lévy : parce que juif dans un réflexe communautaire ou parce que membre du même réseau de la “religion sans nom” (luciférienne donc mondialiste, kabbaliste donc messianique… ?) qui considère qu’elle est une élite au-dessus de la loi pour les simples humains.1

Le réalisateur

Cela dit le réalisateur est intéressant puisque, comme Stanley Kubrick, il semble être un membre ou d’une communauté religieuse (juif ou luciférien) ou d’une antiélite mafieuse qui a le droit – il a la carte ou le bon sang – de révéler certains fonctionnement occulte de nos sociétés “occidentales”. C’est dans cette optique qu’on s’intéressera plus particulièrement à

Note

  1. Question qui se pose exactement dans les mêmes termes pour Dominique Strass-Kahn lorsqu’il fut défendu par l’omniprésent marquis botuleux ou Jean-François Kahn, le gauchiste communautaire qui ne voit pas ce qu’il y aurait de mal à trousser une esclave noire. ↩︎